Mais un jour, que l’on m’aime vraiment, se dit-on.
On attend. Le temps passe le temps
Et soudain, je suis le retrouvé, le convaincu,
Je n’ai plus besoin de remède.
Je donnerais la vie dans nos déserts
Fier d’un enfoncement dans les pierres poussiéreuses
Du temps passe le temps
Même si on garde les jupes de bois, et les robes de ciment.
J.
J vit en foyer. Son éducatrice lui interdit d’écrire.